Passez d’écrire pour votre quotidien professionnel, à auteur indépendant publié, lu et rémunéré

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Ce que vous avez accompli est déjà exceptionnel

D’après un sondage Le Figaro Littéraire/Odoxa, 1 Français sur 4 rêve d’écrire un roman. Mais 95% ne le feront jamais.

Vous, vous êtes allé jusqu’au bout. Ce manuscrit, vous l’avez écrit le soir, pendant vos congés, après votre journée de travail… Vous avez sacrifié des moments entre amis ou en famille, parce qu’il fallait que ça sorte :  vos mots, vos histoires, vos vérités.

Vous avez tenu là où la majorité s’effondre. Vous avez transformé un rêve flou en un objet concret : un manuscrit.

Et pourtant, aujourd’hui, vous le regardez comme on regarde un objet précieux… dont vous ne savez pas trop quoi faire. Dans le meilleur des cas, vous l’avez envoyé à quelques maisons d’édition (sans réponse positive) ou l’avez auto-édité (sans lecteur). Dans le pire des cas, il dort au fond de votre ordinateur.

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Pourquoi publier un livre (et être lu) fait peur… même quand on est un pro de l’écrit

Publier un livre n’a rien à voir avec livrer un article, un rapport ou une campagne client. Ici, il ne s’agit pas seulement de compétences. Il s’agit de vous.

Trois principaux freins bloquent la majorité :

1. La croyance culturelle française

On nous l’a répété depuis l’enfance : “La littérature, c’est noble… mais pas rentable.” Même quand on sait que des auteurs indépendants vendent, on a l’impression que ce n’est pas pour nous.

2. La saturation apparente

Des milliers de livres sortent chaque jour. Amazon change ses classements toutes les heures. Les réseaux sociaux débordent de couvertures et de “nouveautés”. Comment exister dans tout ça ?

3. L’exposition intime

Ce livre, ce n’est pas un produit impersonnel : c’est vos tripes. Laisser ce texte sortir, c’est accepter qu’il soit lu, jugé, commenté… par des inconnus.

Et les exemples autour de vous n’aident pas : les maisons d’édition qui ne répondent jamais, l’auto-édition au rendu amateur, les auteurs qui peinent à vendre 40 exemplaires, etc.
Alors vous vous protégez : vous laissez votre manuscrit dormir.
Vous vous dites que “ce n’est pas grave”. Mais intimement, vous savez que ça l’est.

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Votre cas est particulier

Votre plume, vous la maniez tous les jours. 

Vous exercez un métier tel que correcteur, traducteur, rédacteur web, copywriter, journaliste, chroniqueur, chargé de communication, attaché de presse, écrivain public, professeur de lettres, orthophoniste, documentaliste, etc.  

Dans votre quotidien professionnel, l’écriture n’est pas un simple loisir : c’est un outil, une compétence centrale. Vous savez rédiger avec méthode, respecter des contraintes, transmettre clairement une information, convaincre ou émouvoir un lecteur. Cette rigueur, cette efficacité, la majorité des auteurs amateurs ne l’ont pas. 

Et surtout, vous savez déjà qu’écrire a de la valeur : vous l’avez expérimenté au service des autres. Il est temps d’appliquer ces armes à votre propre livre.

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Vous priver de votre rêve pourrait être votre plus gros regret

Laisser votre manuscrit dormir, c’est accepter de vivre avec un rêve à moitié accompli. Oui, vous vivez déjà en partie de l’écriture… mais pas de celle qui vous a fait tomber amoureux des mots.

En mettant ce livre de côté, vous vous privez de trois choses que personne ne pourra vous offrir :

1. La fierté d’être lu par des inconnus

Pas un collègue, pas un ami, pas un proche. Mais par un lecteur que vous ne connaissez pas, qui a choisi votre livre, qui l’a lu jusqu’au bout, et qui en parle autour de lui. C’est une sensation unique.

2. L’accomplissement de votre rêve d’enfance

Finir un manuscrit, c’est déjà rare. Le publier et le voir vivre, c’est transformer un fantasme en réalité tangible. C’est tenir entre vos mains l’objet que vous imaginiez depuis l’enfance, avec votre nom sur la couverture.

3. Un potentiel de rayonnement et de revenus

Certains auteurs, loin des projecteurs, vendent des centaines (ou des milliers) d’exemplaires chaque année, souvent sans réseau de départ, et en tirent un revenu régulier. Leur secret : des leviers précis, encore méconnus du grand public francophone.

Un mentor qui sera votre coach, votre formateur, votre consultant — bref, votre véritable bras-droit

Votre accompagnement est individuel : un « mentor », lui-même entrepreneur, vous aide à rester motivé, vous transmet ses connaissances, et vous apporte un regard extérieur.