Et si entreprendre entre amis était la solution ?

Photo de Pascal Robby

Pascal Robby

Illustration de Et si entreprendre entre amis était la solution ?

Nous, c’est Pascal et Arnaud de Dissidents Marketing, et nous allons vous parler du plaisir d’entreprendre entre amis. Un article écrit avec nos 4 mains séparées par….5000 km de distance parce que :

– Moi Pascal , je vis en France
– Moi Arnaud, je vis avec ma famille… au Canada !

Notre manière de travailler est différente et c’est ce qui résume finalement le mieux notre rencontre et comment nous avons décidé de travailler ensemble. Parce qu’au départ, nous nous sentions vraiment différents et pas à notre place.

Nous allons alterner dans un premier temps nos voix respectives pour que vous puissiez découvrir le parcours de chacun.

Entreprendre, c’est avant tout se relever…même quand ça fait mal !

Moi c’est Pascal, je suis Copywriter et Coach en Personal Branding. D’aussi loin que je me rappelle, je me suis toujours senti différent des autres.

POURQUOI ?

A l’âge de mes 11 ans, mon père a eu un accident de la route où il a perdu la vie. À partir de ce moment là, vous ne voyez plus la vie de la même manière. Je suis passé de petit garçon de 11 ans à jeune adulte de 11 ans. Mon père n’était plus là et je devais m’habituer à ce grand vide.

J’ai commencé à me sentir seul. Parce que je ne connaissais personne autour de moi qui avait vécu ce que j’avais vécu.

J’ai commencé à voir les choses différemment. Et toutes les bêtises qu’un adolescent pouvait faire, je les trouvais futiles. Ma mère s’est retrouvée à élever seule mon frère et moi.

Comme elle travaillait beaucoup, il a fallu très rapidement apprendre à se débrouiller tout seul : faire à manger, le ménage, les courses ou des choses beaucoup moins funs comme rédiger des courriers administratifs.

J’ai très rapidement été obligé de devenir responsable, et ça durant toute mon adolescence. Même si j’avais des amis autour de moi, je continuais à me sentir seul.

Je me suis rapidement réfugié dans les livres. Ça me permettait de fuir la réalité et également d’apprendre de nouvelles choses. Je me suis dirigé naturellement vers l’écriture.

J’écris depuis l’âge de 18 ans. Ça a été salvateur. J’écrivais surtout des pensées et ce que je ressentais. Mettre des mots sur ce que vous ressentez, il n’y a rien de plus libérateur dans la vie.

Ça m’a permis de développer ma pensée et mon côté analytique. Et à côté d’écrire des chansons (une dizaine d’années que je pratique la guitare et que je chante) .

Je ne peux pas dire que j’ai eu une véritable adolescence, je considère que mon adolescence, je la vis aujourd’hui : puisque j’alterne les responsabilités adultes de gérer une agence et le plaisir enfantin de kiffer ce que je fais.

À côté de ça, j’ai toujours rêvé d’être médecin. Ce métier me fascinait parce qu’en un coup d’œil, le médecin était capable de déterminer ce qui n’allait pas chez le patient.

J’ai fait 2 fois le concours de médecine, puis n’ayant pas réussi le concours, j’ai continué de travailler dans le milieu paramédical.

J’y ai travaillé 10 ans et bien que j’ai adoré travailler dans les différents secteurs hospitaliers, j’ai toujours su que je n’y ferais pas toute ma carrière.

J’ai passé le concours infirmier une première fois. J’avais réussi à passer l’écrit sans difficultés. Et gonflé par la confiance, j’y suis allé la fleur au fusil à l’oral. Résultat : 4/20 à l’oral.

Coup de massue !

Tout mon entourage savait que j’étais motivé pour devenir infirmier. Pourtant, mon message n’est pas passé. Alors je me suis posé juste une seule question :

Que faire pour que mon message soit compris de tous ?

En attendant l’année suivante, j’ai travaillé ensuite comme agent hospitalier de nuit dans une EHPAD (anciennement maison de retraite) . Je faisais le ménage et je surveillais les résidents de l’établissement.

En parallèle, je me suis inscrit dans un organisme qui préparait au concours infirmier. Et je me suis replongé dans les livres : psychologie, sociologie, développement personnel, langage non verbal…

J’étais déterminé pour réussir ce concours. Et l’année d’après, je l’ai réussi !

J’ai adoré mes deux premières années en tant qu’étudiant infirmier. Mais j’avais déjà observé tous les dysfonctionnements actuels de l’hôpital en France (c’était en 2010).

Et c’est un burn out qui m’a fait comprendre que je devais changer de cap.

Ce stage de début de 3ème année a fait basculer mes plans. Ça se passait très mal pendant ce stage, j’avais une référente de stage qui n’arrêtait pas de me rabaisser. Et ce stage devait durer 10 semaines !

Sauf qu’au bout d’un mois, j’allais à reculons sur mon lieu de stage. Pour la première fois de ma vie, j’avais constamment une boule au ventre. Vous savez, ce sentiment qui vous fait tordre le ventre. Plus je me rapprochais du vestiaire pour me changer, plus cette douleur était intense.

Je me souviens qu’avant de sortir de l’ascenseur, je prenais une grande respiration et je retenais mon souffle quand j’entrais dans le service. Sauf que ce jour là, j’ai décidé qu’il en serait autrement.

Il y a eu une réunion avec ma référente, la cadre du service et ma formatrice. Dans ma tête, j’étais déterminé et j’ai affirmé droit dans les yeux que j’arrêtais ma formation d’infirmier, à quelques mois du diplôme.

Quand je suis sorti de l’hôpital, j’avais retrouvé le sourire et une nouvelle énergie m’a envahi.

Je me suis posé la question de savoir quel serait la suite logique pour moi : devenir entrepreneur. Quitte à être décalé des autres, autant y aller à fond !

J’avais un blog passion à coté de mes études. J’ai commencé à acheter un paquet de formations en ligne qui m’enseignait de nouvelles connaissances (WordPress, mailing list, tunnels de vente…).

J’ai réussi à obtenir des premiers clients. Mais pas assez pour vivre pleinement de mon activité. Pendant quelques années, j’ai alterné entre travailler en intérim et ce blog.

Je ne comprenais pas pourquoi je n’arrivais pas à faire décoller mon activité.

Je me suis tourné ensuite vers le métier de Coach. Un métier tourné vers l’humain, qui demande des qualités relationnelles avec de la précision. Des mots qui résonnent pour l’ancien professionnel de santé que je suis.

Le coaching est un super outil pour clarifier le besoin de ses clients. C’est en me formant dans une école de coaching que j’ai rencontré Arnaud. Et dès que nous avons commencé à discuter, c’était quasi le coup de foudre !

Entreprendre, c’est écouter vos tripes…même quand personne n’y croit !

Salut, moi c’est Arnaud ! Je suis Copywriter et consultant en stratégies d’optimisation marketing. Durant mon enfance, j’étais fasciné par une chose :  “LA VICTOIRE”.

J’ai toujours adoré GAGNER, même si parfois j’étais borderline entre la victoire bien méritée et la victoire en trichant ! J’ignorais tout du marketing mais j’adorais convaincre les gens, n’en faire qu’à ma tête et être le chef du groupe.

Même si j’ai toujours eu une personnalité calme, j’ai toujours gardé ce trait de caractère !

Je crois que c’est ça qui m’a poussé à devenir un entrepreneur. Je me souviens de cette phrase que ma mère aimait bien me rappeler quand j’étais plus jeune :

« Quand tu étais en maternelle, l’école a été obligée un jour d’annuler la sortie en bus parce que tu ne voulais pas y aller. Ce jour-là, la directrice nous a avertis que nous aurions beaucoup de problèmes avec toi plus tard.”

Avec du recul, je pense qu’elle anticipait inconsciemment les problèmes que j’allais causer en me lançant dans l’entrepreneuriat.

Mais j’avais un GROS problème… BIG FAT MAMMOUTH, c’est comme ça que m’appelait les meilleurs amis que je fréquentais depuis le CE1 (Traduction de l’époque : GRAND GROS GRAS MAMMOUTH).

Des légumes, j’en mangeais plus que les autres. Et le sport ? Eh bien, j’enchaînais le judo et la natation. Pourtant, rien à faire. Dès que je mangeais, même dans des plus petites quantités que les autres, on me faisait bien comprendre que je devais poser la fourchette et faire du sport.

Tandis que les autres se gavaient de chips pendant les sorties, moi c’était les légumes ! Du soda dans une belle bouteille achetée à Décathlon ? Non, juste de l’eau dans la gourde qui datait de l’époque du service militaire de mon père.

Plus grand que la moyenne et plus gros que les autres, j’étais souvent dans les derniers de la classe ! Juste devant les cancres, mais tout le temps et largement en dessous des élèves populaires de la classe !

Élève sérieux ? Oui ! Je bossais et malgré ça, j’étais toujours en dessous de la “moyenne” !

Une chose était certaine à cette époque : à 8 ans, je disais que je ne voulais pas travailler. Cette idée, elle m’a trotté dans la tête toute mon enfance et même mon adolescence.

Pour mon entourage, ça signifiait juste que je ne voulais rien faire de ma vie.

Alors que pour moi, ça signifiait juste ne jamais me rabaisser à suivre ceux qui m’avaient traité de pestiféré, juste pour une histoire de poids et de mauvaises notes que je n’avais pas demandés.

Un nez, une bouche, deux yeux, deux oreilles… Un être humain c’est comme ça que je me voyais depuis mes 8 ans ! Et je ne pouvais pas accepter de vouloir la même vie que ceux qui avaient tenté de me rejeter.

Je voulais une vie exceptionnelle ! Pourtant, mes parents me rappelaient tout le temps :

“Tu n’as pas le choix ! Si tu veux pouvoir te nourrir, te loger et survivre dans cette société, tu devras faire comme les autres et travailler !”

Cette phrase j’y ai eu droit très jeune. Évidemment, dans l’esprit de mes parents, l’entrepreneuriat n’était pas un travail. C’est drôle comme une simple phrase prononcée à répétition sur plusieurs années par les autres peut changer le cours d’une vie !

Et c’est exactement ce qui s’est passé pour moi !

Le gros et mauvais élève du point de vue des copains à l’école ! L’enfant en échec scolaire quand je rentrais à la maison !

Inutile de vous expliquer comment la confiance en soi diminue quand on vous fait comprendre que vous n’aurez pas d’avenir. Et c’est pire encore pour quelqu’un qui n’aime pas perdre !

Je suis devenu rapidement obsessif à vouloir prouver que je n’étais pas inférieur aux autres. Pas pour l’amour d’acquérir des connaissances.

Non !

Il fallait que je démontre que l’école était juste une usine à créer des abrutis et que pour réussir dans ce domaine, il n’y avait pas vraiment besoin de réfléchir !

Entre mon désir de quitter l’école le plus tôt possible et celui de prouver que je valais quelque chose, j’ai fait le choix du gros diplôme !

Le problème quand on perd son temps à vouloir prouver sa valeur aux autres, c’est que quand on atteint ses objectifs, ses détracteurs de l’époque ne sont plus là pour qu’on puisse se satisfaire de sa victoire !

Votre revanche sur la vie, vous pouvez vous la mettre bien au fond dans le même placard que vos diplômes.

En fait, la réussite ne vaut même pas la peine d’aller la fêter en allant dans un bon resto ! Pourtant, j’ai gaspillé 18 ans de ma vie pour y arriver !

Mon Master en poche, j’ai enchaîné plusieurs mois de chômage, des petits CDD et un premier échec dans entrepreneuriat. Même avec mes 5 ans d’expérience en alternance dans des grosses entreprises, toutes me claquaient la porte au nez)

Puis je décroche le fameux CDI !

Un salaire minable. Un travail que je ne voulais pas.

Une direction satisfaite de mon travail mais un manque de sens parce que les équipes ne voulaient rien savoir. Des réunions de dernières minutes que je n’avais pas le temps de préparer.

Je perdais tellement pied que je me mettais à bégayer pendant mes présentations de réunion. Ce qui était chez moi, avant un point fort (presque un jeu de rôle), se transformait en cauchemar.

Je continuais à m’enfoncer et à vivre comme si on m’avait enfermé dans une prison.

Puis arrive la naissance de mon fils. Ça a été le déclic !

Terminé le retour en arrière ! J’ai alors fait mon « Arnaud ».

J’ai envoyé ma lettre de démission à mon patron et accroché l’accusé de réception sur le frigidaire pour proclamer que j’étais désormais libre !

Et quand mes proches m’ont dit que j’étais fou et que je risquais de mourir ou d’envoyer ma famille à la rue, ils ont vite compris que ce n’était pas négociable !

J’ai pris femme et enfant, puis nous sommes allés vivre notre aventure chez les québécois ! Douze mois de galère ! Fonceur mais avec un sérieux syndrome de l’imposteur !

Au départ, je voulais aider les thérapeutes dans le marketing car j’ai pas mal de thérapeutes dans mon entourage.

Mais je n’avais aucune expérience du marketing. En plus, j’étais incapable d’aller aborder des clients parce que je n’arrivais pas à pardonner la manière dont on m’avait traité dans l’enfance.

Je ne touchais pas le chômage et mes économies fondaient comme neige au soleil. Beaucoup de temps et d’argent perdus chez les escrocs du Web. Les dettes commençaient à s’accumuler. Beaucoup de dettes !

Mais comme me le dit souvent Pascal : “il y a la détermination ! Et juste au dessus… Il y a Arnaud”.

Je cherchais de l’argent partout où je pouvais en trouver sauf dans les endroits où on pourrait me coller l’étiquette de “salarié”. Puis alors que je finalisais ma formation de coaching, je tombe sur Pascal !

C’était la première fois que je tombais sur une personne qui pensait la même chose. Forcément vous ne pouvez que tomber en amour, même si c’est un mec !

Entreprendre entre amis est alors devenu une évidence

Pour Pascal, les meilleures formations qu’il avait suivies et qui lui avaient permis d’avoir des résultats provenaient de chez LiveMentor. C’est d’ailleurs en suivant la formation Freelance et Copywriting, que Pascal a décidé de se spécialiser en tant que Copywriter pour les coachs.

Du coup, nous avons fusionné nos compétences pour travailler sur le business de l’autre.

En deux semaines nous avons retravaillé notre ciblage, nos pages de vente, nos produits et services. Puis nous avons commencé la promotion de nos offres.

Résultats ? Enfin nos premières ventes !

Nous venions enfin de franchir une étape. Passer de 0 à 1 client. Puis à plus.

Chacun avait réussi à aider l’autre là où de soi-disant experts avaient lamentablement échoué à nous aider à obtenir des résultats. Étions-nous vraiment aussi mauvais séparément ? Non, pas du tout !

En fait, on avait chacun beaucoup d’expériences pratiques dans l’entrepreneuriat et le marketing. Tout ce qui nous manquait c’était de la visibilité.

Rapidement Arnaud a proposé de monter un projet ensemble, mais bon chat échaudé craint l’eau froide. Et Pascal avait déjà payé une fois le prix d’entreprendre entre amis.

Nous avons donc travaillé ensemble pendant plusieurs mois, chacun possédant son propre business et ses propres clients. Pendant plusieurs mois, nous avons développé nos techniques de marketing.

Nous nous sommes aperçus au fil du temps que les faiblesses de l’un étant les forces de l’autre, et que nous étions complémentaires.

L’étincelle de travailler ensemble a commencé par resurgir. Nous avons donc hiberné tout l’été pour déterminer comment nous allions travailler ensemble.

Notre recette secrète pour entreprendre entre amis

Nous considérons notre travail ensemble comme un mariage. Nous allons vous partager nos 3 secrets qui nous permettent de travailler quotidiennement ensemble.

1) Notre contrat de mariage

Oui vous avez bien lu. Nous avons établi un contrat entre nous et nous l’avons écrit. Nous avons d’ailleurs commencé par cette question : Que se passe-t-il si ça se finit mal ?

On a beau être coach, on aime bien regarder ce qui ne vas pas. Comme le prof de français qui repère la moindre faute d’orthographe (pardon aux profs de français qui liront cette article !) .

Nous avons pour principe de toujours commencer par le pire, parce qu’après ça ne peut que s’améliorer. Et donc nous avons établi une longue liste de toutes les situations pour lesquelles cela ne se passerait pas bien.

Est-ce que nous pouvons prendre en considération toutes les situations ? Certainement pas !

Par contre cet exercice permet une chose : d’exprimer ce que vous ressentez et notamment vos peurs. Il n’y a rien de plus puissant qu’exprimer vos peurs face à votre partenaire pour installer de la confiance.

2) Communiquer : le ciment de la relation

Nous communiquons tous les jours par Facetime, même si cela ne dure que 5 minutes. Il est 14h en France tandis qu’il est 8h au Québec.

Pourquoi ?

Parce que notre relation est au dessus de gagner de l’argent et d’obtenir plus de clients. S’il n’y a pas de confiance entre nous deux, à quoi ça sert d’entreprendre ? Alors, on nous pose souvent la question : « Mais comment faites-vous pour travailler ensemble à plus de 6000 km l’un de l’autre ? »

Nous sommes deux individus qui se posons beaucoup de questions. Et à force de réfléchir, nous avons trouvé 3 qualités qui font que notre relation dure et se renforce chaque jour.

  • L’honnêteté : d’abord vis-à-vis de nous-mêmes et ensuite vis-à-vis de l’autre
  • La liberté : comme nous sommes honnêtes envers nous-mêmes, nous nous permettons de dire tout ce qui nous passe par la tête, même si c’est maladroit, vulgaire ou non adapté à la situation. Et c’est très libérateur !
  • La simplicité : quand l’un ne comprend pas l’autre, ça se traduit rapidement ainsi : « Pépère, tu peux me la refaire en français ? » ou « Je n’ai rien compris à ce que tu me racontes, refais-la dans l’ordre s’il te plaît »

Alors peut-être que parmi vous il y a des adeptes de la communication non violente qui diront : « Oui mais tu sais, tu devrais d’abord exprimer ce qu’il se passe, puis blablabla…”

Les principes de la communication non violente sont très puissants. Mais d’un autre côté, chassez le déconneur qui sommeille en vous et il revient très vite au galop. C’est comme ça que nous fonctionnons.

3) Le sens de ce que vous faites

Quand vous vous sentez perdus dans ce que vous faites, rappelez-vous toujours pourquoi vous faites cette action.

Sincèrement, on ne sait plus de qui est cette phrase, mais elle est vraie.

Si vous pensez aujourd’hui que vous êtes devenus entrepreneurs juste pour ne plus être salarié, vous allez droit dans le mur. Ce n’est pas suffisant pour réussir en tant qu’entrepreneurs.

Oscar Wilde disait :

« Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec on atterrit dans les étoiles. » 

Il faut viser plus haut pour avoir un objectif suffisamment fort pour vous exciter et en même temps vous faire un peu peur.

Si votre objectif n’est pas assez haut, vous allez rapidement vous ennuyer. Si votre objectif est trop haut, vous allez avoir trop peur de l’atteindre et cela va vous paralyser.

Mais justement,  qu’est-ce qui nous motive à sortir de notre lit tous les matins ?

Notre mission : porte parole digitale pour les entrepreneurs dissidents !

Nous nous sommes lancés dans l’entrepreneuriat parce que nous nous sentions en désaccord avec le système. Le modèle métro-boulot-dodo ne nous fait pas (du tout) rêver.

À ce moment-là, nous sommes devenus dissidents. Le chemin le plus cohérent pour nous est de suivre la voie de l’entrepreneuriat.

Parce que notre intime conviction, c’est qu’un entrepreneur a une revanche à prendre sur la vie.

C’est ce qui nous pousse à continuer. Et nous souhaitons partager notre histoire avec un maximum de personnes, et leur dire que quels que soient leurs parcours et les obstacles à franchir, c’est possible !

Et que si ces personnes se sentent différentes, aujourd’hui elles ne sont plus seules, parce que nous sommes comme elles.

Ce qui nous a empêché pendant des mois de réussir, c’était le manque de visibilité.

Nous avons décidé de faire comme Batman : de transformer cette peur en une force !

Parce que ça nous a coûtait très cher, nous avons lancé Dissidents Marketing pour aider les entrepreneurs dissidents à développer une visibilité maximum auprès des bons clients.

Nous nous concentrons autour de 3 axes :

Le copywriting. C’est le premier amour entrepreneurial de Pascal, et Arnaud a rapidement succombé . Livementor nous a appris à raconter des histoires, mais au départ nous avons découvert le copywriting avec des gens comme :

  • Gary Halbert
  • David Ogilvy
  • Gary Bencivenga
  • Ben Settle
  • Dan Kennedy

En apprenant le copywriting, nous avons appris à construire nos offres, à comprendre le marketing et la vente sous leur vraie nature.

Du contenu de qualité pour des clients engagés !

La publicité Facebook. Ça c’est le truc d’Arnaud. Un outil redoutable pour présenter les meilleurs offres aux clients les plus concernés.

Le coaching. Ça fait parti de notre identité. On adore coacher, plus précisément poser des questions. En plus, nous cultivons encore une particularité : tous nos clients sont accompagnés par vos deux serviteurs.

Nous avons commencé l’aventure ensemble.
Nous écrivons les articles ensemble.
Nous coachons ensemble.

Et on adore ça !

C’est ainsi que nous affirmons notre dissidence. Et vous, qu’est-ce qui vous rend dissident ? Nous sommes curieux de découvrir vos réponses !

Inscrivez-vous à la newsletter d'Alexandre Dana

La newsletter la plus suivie en France par les entrepreneurs – partagée toutes les semaines à plus de 200 000 porteurs de projets.