Véronique Jacquart : Une vie entre les Etats – Unis et la France

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Véronique Jacquart

Illustration de Véronique Jacquart : Une vie entre les Etats – Unis et la France

Aujourd’hui je vous présente Véronique Jacquart. Une vie pleine de rebondissement entre aléa et ouverture de société. Venez découvrir son histoire !

Je te laisse te présenter Véronique :

Je m’appelle Véronique Jacquart j’ai 49 ans et je vis entre la France, en Provence et Miami où je passe six mois par an. Après un Master à l’école des Beaux-Arts et quelques contrats avec des agences de communication je suis devenu directrice artistique d’une société qui fabrique du linge de table jetable.

En 2007 je m’ennuie un petit peu dans cette société et je décide de devenir free-lance. Je suis ainsi devenue designer textile free-lance c’est-à-dire que je crée des motifs et des illustrations qui sont appliquées su du ligne de
maison, de la vaisselle, ou du linge de lit.

Cette activité a super bien marché pendant une dizaine d’années et puis ensuite je recommence à m’ennuyer un peu et à avoir besoin d’air. De plus c’est à ce moment-là que je décide de partager ma vie entre les États-Unis et la France. Beaucoup de mes clients ont du mal à me suivre dans ce choix et ont peur que la distance soit un frein à l’efficacité. Je décide alors de changer de voix et de me consacrer à l’illustration de mode, plus
précisément au live sketching. Le live sketching qu’est-ce que c’est ? c’est dessiner en live les invités lors d’un événement corporate ou privé. C’est très plébiscité par les marques de luxe pour offrir un cadeau unique et personnel à leurs meilleurs clients.
Ainsi, d’une clientèle plutôt industriel, je me suis tournée vers une clientèle de luxe et cela me plaît beaucoup.

Quel objectif cherchais-tu à atteindre avec LiveMentor ?

Quand je me suis inscrite chez LiveMentor, c’était la fin du confinement et comme chez beaucoup de gens cette période a provoqué une remise en question sur ma façon de travailler. De plus elle a mis en lumière la nécessité
de développer la communication digitale pour développer le commerce en ligne.

J’avais déjà un compte Instagram sur lequel je postais régulièrement mais je n’arrivais pas à trouver une ligne éditoriale ni a organiser ma façon de communiquer. Mon objectif était donc de rendre mon Instagram plus attirant et que mes followers se sentent en confiance pour commander leur portrait.

Quelles difficultés as-tu rencontrées ?

Comme tous les free-lance j’ai parfois du mal à trouver le temps de suivre les tribus et de me retrouver dans le flot des informations données sur le site de LiveMentor.

Au début j’étais un peu noyée face a toutes les informations mais ensuite je me suis sentie suffisamment à l’aise pour faire le choix des actions que je pouvais faire naturellement et celle qui était trop loin de ma façon de travailler.

Comment as-tu vécu ton expérience LiveMentor ? Qu’est-ce qui t’a le plus plu ?

La principale difficulté quand on est Free lance c’est la solitude. C’est un sujet que l’on aborde peu mais pourtant bien réel. Avec LiveMentor j’ai reçu des conseils mais surtout, j’ai reçu l’écoute qui me manquait. Plus que d’augmenter le nombre de like et le nombre de follower, ce que j’ai le plus aimé c’est de me sentir épaulé.

Quelles sont les prochaines étapes dans le développement de ton projet ?

J’ai un nouveau pop-up store au Bon Marché à Paris pendant la période de Noël pour deux mois et demi. Ce pop-up va me permettre de rencontrer mes clients physiquement. Mais aussi d’appliquer ma nouvelle stratégie et d’essayer de les faire devenir des fans, voir même des super fans ! Ensuite j’aurai un autre pop-up store dans un magasin à New York au printemps. Par expérience, les Américains sont beaucoup plus ouvert ! Il n’hésite pas à vous suivre sur Instagram quand ils aiment bien votre produit ou votre personnalité. Mais là aussi, il s’agira pour moi de les rendre super fan pour les garder en tant que client même si je ne suis pas sur place.

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui se lance dans l’aventure entrepreneuriale ?

De faire un produit que l’on aime. Et d’en parler autour de soi. Parler de ses réussites comme de ses échecs pour ne pas sombrer dans la solitude. Je pense aussi qu’il faut être très organisé et aller au travail même si on a
rien à faire. Car par définition, un free-lance n’a jamais rien à faire. Ne jamais avoir honte de son activité même si au départ elle est toute petite. Nous la développerons que si nous en parlons autour de nous. Je leur conseillerais aussi de se former régulièrement. En étant seul et en manque d’interaction, on pourrait avoir tendance à ronronner. La formation permet de se dépasser et bien s’entourer est essentiel.

Pour retrouver Véronique sur ses réseaux :

Instagram : @veroniquejacquart
Site : www.veroniquejacquart.com

Pour aller plus loin…

Vous avez aimé le portrait de Véronique ? Venez découvrir celui de Patricia Therrachon, de Pauline Richir et d’Isabelle Vauché qui ont un parcours similaire.

Pour retrouver tous nos portraits, c’est par ici.

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