Comment devenir Traducteur en Freelance ? – Guide Complet

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Mathias Savary

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Le métier de traducteur est l’un des plus anciens du monde. Des tablettes cunéiformes datant de 2000 av. J.-C. montrent des traductions entre le sumérien et l’akkadien. Or, dans un monde où les échanges s’intensifient, notamment avec les réseaux sociaux et les achats de biens et services en ligne, le traducteur est plus nécessaire que jamais.

Ce qui est d’autant plus passionnant, c’est qu’il existe aujourd’hui plusieurs manières de l’exercer. Dans cette fiche métier, nous allons explorer les milles et une facettes du métier de traducteur en freelance, en détaillant notamment comment lancer votre activité et trouver vos premiers clients en tant qu’indépendant.

Tout d’abord, donnons une définition de ce métier. Imaginez le traducteur comme un pont entre deux mondes séparés par une rivière, chaque monde représentant une langue différente.

Si vous vous trouvez sur la rive d’un de ces mondes, disons le monde « Français », et que vous voulez comprendre ce qui se passe de l’autre côté, dans le monde « Chinois », le traducteur est celui qui vous permet de traverser ce pont en toute sécurité. Il ne se contente pas de transporter des mots d’une rive à l’autre, mais il s’assure que le sens, la culture, et les nuances sont préservés. Ainsi, même si vous ne parlez pas la langue d’origine, grâce au traducteur vous pouvez comprendre le message comme s’il avait été écrit pour vous dès le départ.

Une enquête publiée en 2015 par la Société française de traduction estimait à 16 000 le nombre de traducteurs et traductrices professionnels en France, alors qu’ils étaient 6 500 en 2001. La traduction est donc un marché en forte croissance. Autre fait intéressant : 89 % des traducteurs exercent avec le statut d’entrepreneurs individuels.

Voyons à présent les points clés du métier de traducteur à son compte !

1) Interview vidéo d’un traducteur freelance

La vidéo arrive très bientôt.

2) Combien gagne un traducteur freelance ?

Pour vous donner une fourchette, selon le site Glassdoor, le salaire moyen pour le poste de traducteur en freelance s’élève à 2 164 €, en France. Selon l’APEC (l’Association pour l’emploi des cadres), un traducteur peut gagner entre 24 000 et 60 000 € brut par an.

En réalité, la rémunération d’un traducteur freelance varie considérablement en fonction de plusieurs facteurs : 

  • L’expérience, 
  • La langue cible,
  • La langue source, 
  • La quantité,
  • La nature des projets. 

Un traducteur freelance peut travailler dans divers domaines, tels que la traduction technique, juridique ou littéraire, et chaque domaine peut offrir des tarifs différents.

Le premier conseil que nous pouvons vous donner, c’est justement de se spécialiser en freelance.

La spécialisation vous permet de :

  • Choisir un domaine ou un secteur d’activité que vous aimez,
  • Développer votre expertise et de devenir le meilleur sur cette niche,
  • Augmenter le prix de vos prestations.

Vous avez l’impression que vous allez passer à côté d’opportunités ? C’est tout le contraire. En vous spécialisant, vous développez un avantage compétitif sur vos concurrents. Vous devenez expert dans un certain type de traductions et les clients potentiels de ce secteur s’adresseront à vous en priorité.

Voyons à présent comment vous épanouir dans ce métier de traducteur (et obtenir une rémunération à la hauteur de vos attentes).

3) Quelles sont ses principales missions ?

Soyons honnêtes, le métier de traducteur freelance est à la fois passionnant et exigeant. Un traducteur indépendant a pour mission principale de transposer un texte d’une langue source vers une langue cible tout en préservant le sens, le ton et le contexte du texte original. Voici les principales missions et responsabilités associées à ce métier :

1. Traduction de textes :

Le cœur de l’activité est la traduction. Qu’il s’agisse de passer de l’anglais au français, du français à l’anglais ou toute autre combinaison de langues, le traducteur doit garantir une traduction fidèle et de qualité.

Fiche métier traducteur freelance

2. Spécialisation :

Certains traducteurs choisissent de se spécialiser dans des domaines spécifiques. Un traducteur juridique se concentrera sur les documents à caractère officiel, tandis qu’un traducteur technique pourrait travailler sur des manuels d’instructions ou des spécifications.

3. Recherche :

La recherche est essentielle pour comprendre le contexte, le jargon et les nuances des textes à traduire. Les traducteurs doivent aussi jouer le rôle de détectives culturels, car certains concepts ou blagues n’existent pas dans d’autres langues et nécessitent une adaptation créative.

4. Utilisation d’outils de traduction :

Avec l’évolution constante des langues et des techniques, le traducteur doit se familiariser avec les outils de traduction assistée par ordinateur (TAO).

Voici quelques-uns des meilleurs outils de TAO sur le marché :

  • SDL Trados Studio : C’est l’un des outils de TAO les plus populaires et reconnus dans le monde de la traduction. Il offre une grande variété de fonctionnalités, dont la gestion de mémoires de traduction et de glossaires.
  • MemoQ : Cet outil est apprécié pour sa convivialité et ses nombreuses fonctionnalités, notamment la possibilité de travailler en mode collaboratif.
  • Wordfast : Il existe en plusieurs versions, dont Wordfast Classic (pour Microsoft Word) et Wordfast Pro (version autonome). C’est un outil plus abordable, mais toujours très efficace.

5. Relations avec les clients :

La communication avec les clients est essentielle pour comprendre leurs besoins, négocier les tarifs et garantir la satisfaction. Un bon relationnel permet de fidéliser un client, d’amorcer une bonne réputation avec le bouche-à-oreille et d’obtenir des recommandations. 

Dans quel secteur travaille le traducteur freelance ?

Les domaines où le traducteur freelance exerce sont aujourd’hui très nombreux, ce qui souligne les opportunités qu’offre ce métier. Voici les principaux :

  • Secteurs spécialisés :

Les traducteurs peuvent choisir de se spécialiser dans des domaines spécifiques tels que l’ingénierie, la médecine, la biologie, le droit, la finance, l’informatique, la communication, les ressources humaines, entre autres. Il s’agit d’une approche gagnante pour un ou une freelance. Ces spécialités sont particulièrement convoitées car elles nécessitent une expertise technique et une connaissance approfondie du jargon propre à chaque secteur. Elles permettent aussi d’annoncer un tarif plus élevé. 

  • Domaine commercial :

80 % des traducteurs exercent dans les domaines suivants : commercial, technique ou scientifique. Ils peuvent travailler sur des documents tels que des contrats, des rapports annuels, des plaquettes commerciales, des courriers, etc.

  • Audiovisuel et web :

Avec l’évolution des technologies, le champ d’intervention des traducteurs s’est élargi à l’audiovisuel et à Internet. Ils peuvent être sollicités pour le sous-titrage, le doublage, la traduction de sites web, et même la localisation de logiciels ou d’applications.

  • Édition :

Certains traducteurs se spécialisent dans la traduction littéraire et travaillent pour des maisons d’édition. Ils traduisent des romans, des essais, des articles, etc.

  • Organismes internationaux :

Bien que la majorité des traducteurs soient indépendants, certains peuvent travailler pour des organisations internationales, des agences de traduction ou même être fonctionnaires européens ou internationaux.

  • Nouveaux métiers liés aux TIC :

L’explosion des technologies de l’information et de la communication (TIC) a donné naissance à de nouveaux métiers. Les traducteurs peuvent désormais se spécialiser dans la traduction de SMS pour les télécommunications, la localisation de sites web, ou encore intervenir sur des outils spécifiques nécessitant des compétences en informatique.

Les traducteurs freelances peuvent également travailler directement avec des entreprises, des sociétés commerciales ou passer par des agences de traduction.

Par ailleurs, nombreux sont les traducteurs en freelance qui décident de s’installer à l’étranger pour exercer en indépendant.

traducteur spécialisé

4) Quelles sont les compétences nécessaires pour devenir traducteur à son compte ?

Pour exceller dans la traduction en tant qu’entrepreneur, nous avons listé les compétences essentielles que vous devez travailler.

1. Maîtrise linguistique :

Le traducteur doit maîtriser parfaitement sa langue maternelle ainsi qu’au moins deux langues étrangères. La capacité à traduire de manière fluide et naturelle, tout en respectant le ton, le style et le contexte du texte original, est primordiale.

Voici trois conseils pour acquérir la maîtrise d’une langue :

  • Consacrez un peu de temps chaque jour à la pratique de la langue, que ce soit en lisant, en écrivant, en écoutant ou en parlant. La régularité est la clé.
  • Plongez-vous autant que possible dans l’environnement de la langue. Cela peut être en regardant des films ou des émissions, en écoutant de la musique, en parlant avec des locuteurs natifs ou en utilisant des applications de langues.
  • L’apprentissage provient souvent de la correction de nos erreurs. Alors, parlez, écrivez et soyez prêt à recevoir des feedbacks. C’est en se trompant que l’on apprend. Ne craignez pas de faire des erreurs.

2. Spécialisation :

Certains traducteurs spécialisés doivent souvent suivre des formations supplémentaires, car une simple erreur de traduction peut avoir des conséquences graves, voire légales. C’est le cas des traductions médicales ou juridiques, par exemple.

3. Curiosité intellectuelle :

La traduction nécessite une grande curiosité intellectuelle et un intérêt pour l’actualité, la culture, la politique et l’économie, tant au niveau national qu’international.

4. Compétences en recherche :

Le traducteur doit être capable de mener des recherches approfondies pour comprendre le contexte, le vocabulaire technique ou l’actualité d’un secteur donné.

5. Compétences entrepreneuriales :

En tant que travailleur indépendant, le ou la traducteur freelance doit également posséder des compétences en gestion d’entreprise. Cela inclut la prospection de clients, la négociation de contrats, la gestion administrative et la connaissance des différents statuts juridiques, tels que l’auto-entrepreneur ou la micro-entreprise. 

LiveMentor a formé plus de 2 000 traducteurs et rédacteurs web, en les aidant notamment à développer leurs compétences rédactionnelles à travers notre formation Copywriting, et à trouver des clients. Un aspect souvent négligé, et pourtant essentiel.

7. Adaptabilité :

Le monde de la traduction est en constante évolution. Le traducteur doit donc être flexible, capable de s’adapter rapidement aux nouvelles demandes et aux changements du marché.

8. Résistance au stress :

Les délais peuvent être serrés, et le traducteur doit souvent gérer plusieurs projets à la fois. La capacité à travailler sous pression tout en fournissant un travail de qualité est donc cruciale.

Ces 2 dernières font d’ailleurs partie des compétences professionnelles les plus recherchées par les entreprises.

Voyons maintenant comment vous pouvez acquérir ses compétences.

5) Comment se former au métier de traducteur en freelance ?

Pour devenir traducteur indépendant, il est essentiel de posséder une solide formation linguistique, mais aussi des compétences techniques et culturelles. Vous pouvez suivre ces étapes pour les acquérir :

1. Formation linguistique :

Le traducteur interprète ou traducteur freelance doit maîtriser parfaitement sa langue maternelle et au minimum deux langues étrangères, car traduire ou interpréter ne signifie pas simplement remplacer un mot par un autre. Cela consiste à adapter un texte ou un discours à un public. Pour obtenir un master ou un diplôme d’école spécialisée, vous pouvez suivre des études dans des établissements tels que l’Esit, l’Isit, ou l’Inalco offrent des formations reconnues dans le domaine de la traduction.

2. Spécialisation technique :

Pour compléter la formation linguistique, vous pouvez vous former dans le domaine technique, scientifique ou juridique, etc. Cela permet également de se démarquer sur le marché du travail.

Faut-il obtenir un diplôme pour exercer en tant que traducteur à son compte ?

Bien qu’il soit possible de travailler en tant que traducteur freelance sans diplôme spécifique, avoir une formation reconnue dans le domaine de la traduction est un atout majeur pour gagner la confiance des clients. De plus, certaines spécialisations ou missions spécifiques peuvent exiger des qualifications ou des certifications particulières.

devenir traducteur

6) Comment lancer votre activité de traducteur indépendant ?

Détaillons à présent l’aventure du lancement de son activité. Une fois que vous êtes formé, vous devez mettre à plat votre projet.

1. L’objectif :

  • Dans quel domaine souhaitez-vous exercer ?
  • Avec quelles entreprises avez-vous envie de travailler ?
  • Où existe-t-il une demande pour vos compétences ?

Commencez par déterminer les contours de votre projet. Cela vous aidera à savoir où vous devez prospecter et qui contacter.

2.  Choisir son statut :

Être freelance, cela signifie créer une entreprise.

Il existe plusieurs statuts juridiques : micro-entreprise, entreprise individuelle (EI), etc.

Notre recommandation : choisissez le statut d’auto-entrepreneur pour commencer. Vous bénéficiez d’une fiscalité allégée. Vous ne payez pas d’impôts si vous ne faites pas de chiffre d’affaires. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter notre article complet sur comment devenir auto-entrepreneur.

Un traducteur freelance gère de façon autonome son activité. Il a la liberté de choisir son domaine, ses missions, ses clients, ses tarifs et son emploi du temps.

3. Fixer ses tarifs de traducteur freelance :

D’abord, il faut le voir de façon évolutive. Au début, vous aurez peut-être un tarif peu élevé pour obtenir vos premières missions. Cela vous permet de constituer un portfolio et de recueillir des avis positifs.

Puis, vous pouvez augmenter vos tarifs. Il y a certaines erreurs à éviter quand on fixe ses tarifs en tant que freelance, notamment celle d’indiquer un tarif trop bas par peur de manquer une mission. C’est compréhensible. 

Vous pouvez compenser cette peur de diverses façons. D’abord, soyez conscient de votre valeur. Vous faites un travail de qualité. 

Puis, spécialisez-vous. Vous rendez votre compétence rare. 

Vous pouvez aussi mettre l’accent sur le service. Que pouvez-vous offrir à vos clients pour augmenter la valeur de vos prestations ? Voici quelques exemples : 

  • La mise en page du document, 
  • Une traduction optimisée pour les moteurs de recherche,
  • La rapidité (votre document traduit en 48h).

4. Création d’un portfolio :

Créez un portfolio de traductions pour montrer à vos clients potentiels la qualité de votre travail. Cela peut inclure des traductions que vous avez réalisées lors de vos études, de vos précédentes expériences ou des traductions spécifiques pour votre portefeuille.

5. Trouver ses premiers clients comme traducteur freelance débutant :

La meilleure façon de trouver des clients, c’est d’utiliser les plateformes pour freelance. Elles mettent en relation les clients avec un besoin et les prestataires. C’est l’endroit où il faut être.

Les traducteurs ont d’ailleurs une plateforme dédiée, proz.com. Avec l’abonnement, vous pouvez très vite avoir des missions.

Notre conseil : inscrivez-vous sur un maximum de plateformes. Au début, soyez partout. Et pensez à bien soigner votre profil et à indiquer les informations clés sur chaque plateforme.

Vous pouvez aussi utiliser d’autres canaux : cela peut inclure la démarche auprès d’agences de traduction, la participation à des salons professionnels, la création d’un site web professionnel et l’utilisation des réseaux sociaux pour promouvoir vos services de traduction. Vous pouvez aussi rejoindre des associations professionnelles de traducteurs, comme la SFT en France. Cela vous permettra de rencontrer d’autres traducteurs, d’échanger des conseils et de trouver des opportunités de travail.

Pour ces 5 points clés du lancement de votre activité de traducteur, LiveMentor peut vous aider.

À ce jour, nous avons déjà accompagné plus de 25 000 porteurs de projets dont des traducteurs pour les aider à trouver des clients. Lorsque vous savez comment faire connaître la qualité de votre travail, vous pouvez vite vous retrouver dans la situation enviable où vous devez refuser des missions !

7) Quelles sont les perspectives d’évolution ?

Vous commencez à avoir des clients. Votre activité de traducteur est lancée. Maintenant, comment aller plus loin. Voici quelques pistes pour augmenter vos revenus et évoluer dans ce domaine :

1. Spécialisation, spécialisation, spécialisation :

Nous l’avons déjà mentionné, mais il s’agit d’un aspect clé pour gagner de la valeur en tant que freelance. Vous pouvez vous spécialiser dans un type d’industrie, dans un type de traduction ou dans les deux. Vous pouvez devenir expert dans la traduction de contrats pour les plateformes Saas. Cela peut vous permettre d’accéder à des missions mieux rémunérées. 

2. Extension des langues de travail :

L’ajout de langues rares ou en demande croissante, comme le chinois, l’arabe ou le japonais, à votre portefeuille peut augmenter votre valeur sur le marché.

3. Proposer des services complémentaires :

Outre la traduction, vous pouvez proposer des services complémentaires. Voici quelques exemples :

  • Relecture et correction dans une autre langue : Après la traduction, vous pouvez assurer la relecture des textes pour garantir leur qualité et leur cohérence.
  • Optimisation SEO multilingue : Ajustement des contenus traduits pour qu’ils soient bien référencés sur les moteurs de recherche dans différentes langues. Vous pouvez développer vos compétences en tant que rédacteur SEO.
  • Ghostwriting : apprendre à écrire pour d’autres et proposer ses services en tant que ghostwriter.
  • Interprétation : Si vous avez les compétences nécessaires, vous pouvez offrir vos services d’interprétation lors de réunions, conférences ou événements.
  • Sous-titrage : Pour les vidéos d’entreprise, vous pouvez proposer des services de sous-titrage dans différentes langues.
  • Traduction assermentée : Pour les documents officiels qui nécessitent une traduction certifiée.
  • Formation linguistique : Certains traducteurs proposent également des formations en langues ou des ateliers pour améliorer les compétences linguistiques des employés d’une entreprise.
  • Conseil culturel : Aider les entreprises à comprendre les nuances culturelles d’un marché étranger pour une meilleure communication.
  • Gestion de projets de traduction : Si une entreprise a des besoins importants et diversifiés en matière de traduction, vous pouvez assurer la coordination entre différents traducteurs et garantir la cohérence de l’ensemble du projet.

4. Marketing et présence en ligne :

Vous pouvez faire comme Géraldine qui a suivi la formation LiveMentor marketing digital avec un mentor, ce qui lui a permis de trouver des clients rapidement et lancer son projet “Comme une Française”.

Géraldine a créé des contenus pour apprendre à des touristes américains et anglais les rudiments du français. Elle a actuellement un site web, une chaîne YouTube et une newsletter. Mais tout a commencé avec l’idée de proposer des contenus pour une cible très spécifiques, les touristes de langue anglo-saxonne qui veulent connaître quelques expressions à dire pendant leurs vacances dans l’hexagone.

Vous disposez de différents réseaux sociaux comme Instagram ou TikTok pour partager votre expertise et augmenter votre notoriété.

5. Collaboration avec des entreprises internationales :

Les grandes entreprises qui ont des besoins réguliers en traduction peuvent offrir des contrats à long terme, garantissant ainsi un revenu stable.

8) Découvrez les métiers associés :

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Mathias Savary

Rédacteur @LiveMentor